Les dissidents se sont marginalisés eux-mêmes

Brignac Land : La parade de H.J pour le 11 novembre.
                 
Plusieurs maires et édiles de gauche ont, à l’occasion des cérémonies du 11 novembre, boycotté le message du Président de la République démocratiquement élu.

Notre maire de Brignac, H. Jurquet, qui, avec fierté, informe à qui veut l’entendre que notre président, alors maire de Neuilly-sur-Seine, a célébré son union de mariage, a boycotté lui aussi le message.

Certainement rédigé à la hâte, son texte de remplacement comportait de grossières erreurs, en l’occurrence la date d’anniversaire de cette cérémonie (2011 moins 1918 égale 93^ème anniversaire de l’armistice).

Faut-il voir là encore un excès de zèle qui dérape ? Non !
C’est la faute du rédacteur, la langue qui a fourché, ou bien, mais bien sûr, c’est la faute aux autres… les 7 élus.

Pauvre France et triste Brignac !

Il s’agissait pourtant de glorifier, non pas la guerre, mais le souvenir de ceux qui sont morts pour les libertés et les valeurs de notre pays.

Cette attitude est-elle vraiment républicaine ?  

Et bien ça c'est fait ! Il va falloir que se délient les langues, que les Brignacois sachent la verité et pas seulement la vérité selon VAB.

C'est la phrase qu'a écrit VAB :
« Midi Libre » a fait état, dans son édition datée de mercredi, de l’ultime tentative de conciliation à la préfecture dans la crise municipale actuelle. Nous en avons rendu compte dans une précédente page fin de la semaine dernière. Les dissidents, d’après le quotidien, auraient été « écartés » trois mois après l’élection de 2008. Sauf que les délibérations du conseil entre mars 2008 et décembre 2009 attestent du contraire. Et les dits dissidents se sont marginalisés eux-mêmes. Ainsi qu’en témoignent les délibérations suivantes de 2010 et 2011.

Et qui a fait réagir tonton Jéjé dans un commentaire que VAB n'a bien entendu jamais publié. Voila ce que lui a écrit tonton Jéjé :

"M. Ménella, vous avez sans doute oublié qu'au mois de juin 2008, trois mois après les élections, le premier adjoint apprenait par une note scotchée sur la vitre de la mairie qu'en son absence le maire donnait toutes ses délégations au 3eme adjoint. C'est à dire à vous-même. Il n'a même pas eu le courage de le lui dire en face. Par contre, il avait déjà prononcé la phrase suivante : Martinez, il se couchera comme on couche les chevaux en Aveyron !".

Et tonton Jéjé de rajouter : "Je sais que mon commentaire ne passera pas. Mais si jamais vous le publiez, je voterai pour vous !!!"